Le festival
« Femmes photographes et femmes photographiées,
ainsi se décline le plus simplement
le leitmotiv de Phémina. »

Les principes du festival
L’association Arts & Culture Solidaire propose le principe d’un festival photo dédié à la place des femmes dans la photographie.
Cet évènement artistique original révèle l’étendue et la diversité d’une production photographique particulière : celle des femmes photographes et des femmes photographiées.
Le monde de la photographie est largement dominé par les hommes : les femmes photographes restent marginales et encore trop peu connues du grand public.
Parallèlement, la Femme est l’un des sujets récurrents des photographes qui ne cessent d’en explorer les différentes dimensions. Fort de ce constat, le principe d’une exposition photographique qui mette la Femme et la condition féminine en avant semblait tout à fait légitime, d’une part pour mettre en lumière les nombreuses femmes photographes de talent, d’autre part pour tenter d’illustrer l’incroyable diversité de la femme en tant que sujet photographique.
L’objet de cet événement est à la fois de valoriser la Femme en tant que photographe, mais aussi en tant que sujet photographique. C’est pourquoi lors du festival sont présents des exposants femmes et

« En 2015, germait l’idée d’un festival d’un nouveau genre, consacré à la place des femmes dans la photographie.
Mais loin d’encourager les clivages et la séparation, Phémina entretient la délicate alchimie d’une cohabitation fructueuse entre photographes des deux sexes… »






Qu’y trouve-t-on ?
Phémina accueille une grande diversité de styles photographiques, à l’exception
de tout contenu à caractère pornographique ou violent. Les grands thèmes comme
la mode, le reportage sociétal, le photo journalisme, le portrait,
l’autoportrait, le nu artistique ou encore le paysage y sont régulièrement
représentés. Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive, et d’autres formes
d’expression peuvent y trouver leur place.
Pour les femmes photographes, tous les sujets sont permis, sans restriction.
Pour les hommes photographes, seules les séries abordant des thématiques liées à la femmes ou à
l’univers féminin sont acceptées.
Cette ouverture à la mixité, dans le respect d’une ligne artistique forte,
reflète les valeurs de partage, de dialogue et de reconnaissance que le
festival souhaite promouvoir.
C’est aussi cette approche inclusive et affirmée qui fait de Phémina un
événement unique, en contraste avec d’autres manifestations photographiques.
Lors de chaque édition, le festival met en avant deux invités d’honneur, une femme et un
homme, pour illustrer la complémentarité des talents et des regards sur cet
univers féminin.
Mais un festival ne saurait se limiter à une grande exposition, aussi riche
soit-elle. Phémina propose donc chaque année une série d’évènements et
d’animations en parallèle des deux pôles d’exposition. Une façon de donner la
parole aux photographes, mais aussi d’offrir différents axes de communication
autour de la thématique du festival. Conférences, ateliers techniques,
animations artistiques viennent ainsi compléter les expositions.
Si la première édition 2017 était largement animée par des photographes
locaux, le festival accueille aujourd’hui des exposants de toute la France et
s’ouvre à l’international !
Avec une série de 10 images par artistes, ces 20 artistes photographes, minimum,
sélectionnés par un jury de professionnel, exposeront ainsi leurs travaux
d’auteur chaque année.
Depuis 2019 le festival Phémina propose aussi une lecture de portfolios en collaboration avec l’Association Nationale des Iconographes (ANI) afin de permettre au plus grand nombre de soumettre leurs books à des professionnels de l’image.

Où est-ce ?
Le festival Phémina s’est établi dans la ville impériale de Fontainebleau, Seine et Marne, avec deux pôles d’accueil : la magnifique salle des fêtes du théâtre municipal et la moderne et épurée salle de la médiathèque.
Le festival Phémina a vocation à devenir l’un des rendez-vous culturels majeurs du Sud Ile-de-France, aux portes du Grand Paris.

