Sabrina Papin
Photographe amateur depuis début 2015, j’apprends la photographie en autodidacte, et travaille essentiellement autour du portrait féminin.
Travailler autour de la femme, l’aider dans l’acceptation de soi en la mettant en valeur et faire en sorte qu’à l’issue de la séance elle porte un regard positif sur elle-même sont mon let-motive .
Grâce à une série de portraits dits « bucoliques » réalisés entre 2015-2016, j’ai pu ,pour la première fois aux cotés d’une trentaine d’autres photographes, participer à la toute première exposition photographique « Phémina » organisée par le collectif « Croisons les regards ».
En juin 2018, toujours aux cotés du collectif « Croisons Les Regards » j’ai pu exposer une série portant sur le personnage d’Ophélie de Hamlet publié en 1601. Personnage emblématique Ophelie représente la femme enfant par excellence, symbole de la jeunesse immortelle. Cette série se voulait à la fois douce et poétique face à la mort. Cette série a pu être proposée lors d’une nouvelle exposition photographique en solo, cette fois, dans la commune de Toussus Le Noble (78) fin 2018.
Fin 2019 j’exposais, dans la commune de Toussus Le Noble, ma série sur les saisons avec de tous nouveaux portraits toujours plus poétiques.
Souvent caractérisé de « bucolique » ou de « romantique » on retrouve dans mon travail un petit coté « fleurs bleues » qui me caractérise du fait que j’accompagne mes modèles de fleurs.
Ma démarche artistique s’articule depuis toujours sur l’acceptation de soi et pour cela l’idée de travailler le nu est devenu très vite essentiel. Aujourd’hui mes travaux photographiques s’articulent essentiellement autour de la féminité, du corps, de la nudité … le tout à la lumière 100% naturelle. Depuis 2 ans j’ai commencé à travailler sur plusieurs dont ma série « Nuances » qui est un travail d’art thérapie, basé sur le nu plus ou moins caché, avec une mise en scène calquée sur les peintures, sculpture, et l’art en générale. La modèle entre dans la peau d’un personnage. Le fait de retranscrire un tableau déjà existant ou de s’en inspirer permet aux modèles un certain lâcher prise. Les photos sont ensuite travailler de telle sorte que l’on a l’impression de regarder non plus une photo mais un tableau.