Phémina 2020

Véronique Flamand

« J’ai découvert la photo il y a bientôt 4 ans avec mon téléphone portable. Rapidement je me suis tourné vers l’achat d’un petit reflet avec lequel j’ai beaucoup appris, testé, raté…
Passionnée et curieuse de me suis formée à l’aide d’internet et en essayant sans cesse des choses des techniques.
Bien qu’autodidacte, j’ai approuve de besoin de m’inscrire dans un club photo pour pourvoir comprendre mes erreurs, les corriger et tenter encore et encore.
Petit à petit, je me suis aperçue que la photo me permettait d’exprimer mes émotions, mes ressentis sans avoir besoin de mots.
J’ai , il paraît, un imaginaire débordant et je suis toujours à devoir noter les images que j’ai dans la tête pour tenter ensuite de les réalisées.
Je fais tout toute seule, y compris les mises en scène et quand je ne trouve pas mes accessoires, je tente de les fabriquer.
J’ai commencé la photo avec le Light painting, l’urbex mis en scène et les photos sous lumière noire.
J’aime raconter des histoires ou créer des sourires, la photo est donc un moyen d’extérioriser mais également parfois de partager.
J’ai eu la chance de pourvoir exposer ou d’être publiée malgré le fait d’être une toute jeune photographe amateure.
La féminité est mon fil rouge. Toue à tour je l’associe à l’enfance, l’espièglerie ou au glamour.
Pour le coté pratique et étant un peu timide, ce ne sont que des autoportraits que je réalise seule. J’ai donc opté pour un boitier wifi qui me permet de déclencher de mon smartphone.
J’ai des séries photos (lumière noire, urbex, carton, catwoman) que j’agrémente au gré de mes humeurs, de ce que je peux vivre ou ressentir.

« cachée »

Cette série commencée il y a 3-4 ans est effectuée sous lumière noire.
Je l’agrémente, régulièrement au gré de mes émotions ou de mon imagination. Ce ne sont que des autoportraits réalisés en studio ou tout simplement à la maison.
Cette série a fait l’objet d’un porte folio et couverture du chasseurs d’images d’octobre 2019.
Mon fil rouge ici c’est de mettre en valeur la féminité sans ne jamais montrer et l’associer à l’enfance ou à l’espièglerie.»

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