Phémina 2020

Minna Kokko

C’est suite à une carrière dans la communication d’entreprise et des formations dans la photographie (Gobelins l’Ecole de l’Image et Pyramyd à Paris, Luova à Helsinki) que j’ai commencé à développer un langage artistique à travers la photographie. Petit à petit, ce langage a évolué pour se décliner aussi avec d’autres techniques telles que la sérigraphie, le pastel et la peinture. Mais le point d’ancrage de mon travail reste la photographie. J’expose régulièrement en France et en Finlande depuis 2008. Une partie de mon travail est représentée par Jaguar Arte (galerie en ligne), ainsi que par Récurrence Photo  (expositions en entreprises). Certaines de mes œuvres figurent dans la collection de l’Artothèque de Persan (95). Je fais partie des collectifs de plasticiens ArTen (Paris), Grap’S  (Auvers-sur-Oise) et Art Rencontre (Eaubonne). J’ai collaboré avec la ville d’Enghien-les-Bains (festival Bains Numériques) et avec l’Education nationale (artiste intervenante).

Démarche

Mon intention est de figurer l’invisible, ce qui est à l’intérieur de nous et qui nous lie intimement aux éléments de la nature. Faire ressentir les liens de sensibilité qui existent entre tout ce qui est vivant, rétablir la connexion. Rechercher l’essence de l’être. Plus j’avance dans mon travail artistique, plus je prends conscience de l’unité du monde vivant. Les éléments de la nature – le végétal, le minéral, le vent, les nuages, la mer, la glace– constituent le point de départ de mon travail que je décline sous forme de séries. Vivant au croisement de plusieurs cultures, l’idée du métissage traverse toute mon œuvre. Aujourd’hui, je m’oriente de plus en plus vers une expression faite de transparences. Le monde végétal, les arbres en particulier, me fascinent. Ils me guident dans ma recherche de l’essentiel.

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